Je suis correspondant de Libération depuis 2003 et de L'Express entre 2008 et 2016. Je collabore également à d'autres titres nationaux, comme Géo, Marianne, Paris Match, Terra Eco, l'Entreprise... Je suis en outre formateur à l'université de la Réunion, en tant que maître de conférences associé, où je suis responsable des enseignements professionnels en journalisme, de la licence au master.
Comment travaille un correspondant ?
Il peut s'agir d'une demande du siège parisien, via un chef de service, qui me téléphone.C'était parfois le cas pour l'Express, qui publiait des dossiers Réunion ou Outre-Mer. C'est plutôt rare chez Libé. D'une part, lorsque survient un événement important, je suis au courant et j'ai déjà pris les devants ; d'autre part, il faut bien le reconnaître, l'actualité de la Réunion n'est pas la première des préoccupations de la rédaction nationale.
Neuf fois sur dix, les "papiers" pour Libération sont donc des sujets d'initiative. Je propose le sujet à Paris, qui me donne, ou non, son accord. Il faut ensuite convenir de la longueur de l'article (en nombre de signes), et de "l'angle".
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